Philae Ivestissement - Notre Philosophie

Notre Philosophie

taureau

.Philosophie de nos structures de Portefeuilles. .Une Politique résolument axée sur le long terme et tournée vers le monde. .Philae Investissement : 1. Privilégie… Une Allocation Géographique résolument tournée à l’international avec une très faible présence sur les Obligations d’Etat et les Fonds en Euro préférant intégrer des « Obligations Corporate » (Entreprises) dans nos portefeuilles modèles. L’investissement sur les marchés financiers dans les années à venir, sans trop se laisser distraire par l’écume des jours de Bourse et cesser d’entretenir une délectation morose qui relève plus de la course à l’audimat que de la description désintéressée des réalités de ce monde. 2. Recherche… Face à la grande disparité des performances des OPCVM, des véhicules d’investissement sélectionnés avec précaution. La performance d’une gestion dynamique se joue dans la durée et dans un processus bien élaboré de choix de valeurs mobilières qui ne doit pas être assujetti au Dictat des Benchmarks. Processus courageux affichant ses convictions même si elles diffèrent de l’avis unanime qui se délecte de l’environnement morose. L’avis unanime préfère avoir raison avec tout le monde et tord de la même manière. Le bouc émissaire est vite trouvé dans ces cas là ! C’est toujours la faute des marchés financiers lorsque les performances ne sont pas au rendez vous. 3. Sélectionne… Des d’OPCVM gérés par des Gestionnaires Expérimentés qui : Investissent sur des Entreprises : De rendement : Sous évaluées dites « Values ». Fortement sous évaluées dites « Deep Value ». Profitant de l’essor des Economies Emergentes. Liées aux Matières Premières. Ayant un avantage concurrentiel notoire. S’appuient sur le concept de « gestion réactive et flexible ». Affranchie de toute contrainte de gestion et d’indice de référence, cette flexibilité se traduit par un portefeuille investi sur les marchés taux et/ou actions internationales en fonction des conditions de marché et des anticipations du gestionnaire afin d’en maximiser la performance : Fluctuation entre 0% et 100% des poches taux et actions. Une diversification géographique : Zone Euro, Europe, Etats-Unis, Japon, Pays Emergents… 4. Aime à rappeler… 4.1 : Que la crise que nous avons connue en 2008… Etait difficilement prévisible même si quelques « individus » se targuent de l’avoir prévue. Ce sont ces mêmes individus que nous avons entendu « crier au loup » depuis maintenant plus de 15 ans de travail sur les marchés Financiers. « Messieurs, vous vous êtes trompé pendant plus de 15 ans ! C’est simplement la probabilité mathématique qui fait qu’un jour vous alliez avoir raison et non la pertinence de votre discours depuis maintenant plus de 10 ans qui a fait que vous avez touché en plein dans le mille ». Oui, Quelques gérants d’actifs financiers ont évité la crise en affichant des performances bien moins négatives que celles des Marchés Financiers en 2008. Et même si à court terme, nous avouons avoir été « bluffé », l’année 2009 nous a vite prouvé que leur performance n’avait pas de continuité dans le temps… Alors que les marchés financiers ont connu un rebond d’environ 50% depuis leurs plus bas, ces mêmes gérants d’actifs financiers n’ont fait croître leur portefeuille que de 4% et certains ont même eu une année 2009 négative ! Nous maintenons notre conviction que les performances ne peuvent se juger que dans le temps. Et c’est ce postulat qui à la base de toutes nos sélections de gestionnaires d’actifs financiers. Nous pensons que les Marchés Financiers peuvent être dirigés par différents « Instincts Contrariants » relevant de « l’Intime Conviction » de chacun. En mars 2009, alors que le Marchés Financiers étaient à l’agonie (l’Indice CAC 40 fleuretait avec les 2 400 Points), les « Cassandres » nous annonçaient la fin du monde à coup de Grands Articles dans la Presse Financière… A cette même époque nous augmentions nos pondérations sur les classes d’actifs risqués, en tentant de traiter l’urgent en ne se souciant que de l’important car « Le plus grand risque était de ne pas en prendre. » 4.2 : La psychologie comportementale des Marchés Financiers… Au travers de cette image formulée par John Maynard Keynes qui assimile les marchés financiers à des « concours organisés par la presse consistant à élire les plus belles jeunes femmes parmi une centaine de photographies publiées. Le gagnant est le lecteur dont la sélection se rapproche au mieux des cinq photographies les plus choisies. En d’autres termes, le gagnant est celui s’approchant au mieux du consensus global. » En résumé, dès 1936, M. Keynes constate qu’en bourse les prix des titres ne sont pas déterminés par leur valeur intrinsèque, mais plutôt par la perception que les acteurs du marché en ont. La meilleure stratégie pour l’investisseur consiste donc à deviner ce que les autres pensent, exercice d’autant plus délicat que tout le monde ayant la même tactique, personne ne pense plus rien ! Manque de courage ou incapacité à se projeter dans l’avenir ? Les deux, selon nous. L’objectif principal de celui qui donne son avis est rarement de dire ce qu’il pense mais plutôt de raconter ce qui est le plus probable… Cela ne nuira pas à sa réputation, pourvu qu’il ne sorte pas du cadre. Cette bataille entre ceux qui disent ce qu’ils pensent et ceux qui répètent ce qu’il faut dire est un sujet d’interrogation et d’étonnement permanent dans mon métier. Nous préférons nous ranger définitivement dans la première catégorie… en prenant le risque de nous tromper. 5. Constate… Que l’investisseur « Value », à la base de « notre méthode rationnelle et intemporelle d’investissement », n’a pas été d’un grand secours en 2008. Méthode dépassée pour certains, limitée pour d’autres, il faut croire que ce fonctionnement d’investisseur « rationnel » est trop complexe dans la tempête boursière, période où l’instinct de survie prime sur tout autre raisonnement. Comme le résumait à sa façon, en 1835, Alexandre de Tocqueville: « Une idée fausse, mais claire et précise, aura toujours plus de puissance dans le monde qu’une idée vraie mais complexe ». Que le doute n’est pas permis sur l’intérêt « durable » qu’a l’investisseur « value » sur sa perception des Marchés Financiers et sa capacité à générer de la performance. Anticiper le comportement du plus grand nombre reste le « Graal » de tous ceux qui ne veulent pas faire l’effort de comprendre le mécanisme de création de valeur de l’entreprise. Les analyses graphiques quantitatives ou encore comportementales se multiplient dans la communication financière moderne. Elles ne font qu’accentuer les mouvements en entraînant avec elles un nombre toujours plus important (moyens de communication oblige) d’adeptes de l’aspect « ludique » de la vie des marchés. « Les marchés haussiers sont nés du pessimisme, se développent dans le scepticisme, arrivent à maturité dans l’optimisme et meurent dans l’euphorie », la boucle est bouclée avec ce propos de John Templeton (1912-2008) qui permet à l’investisseur « rationnel » de se rassurer sur sa capacité à faire face au comportement du plus grand nombre. 6. Veut vous entrainer avec elle dans cette tentative de penser le monde qui vient…